Depuis le début des activités de danse, c’est seulement hier que le théâtre National Daniel Sorano a eu un grand problème avec le public. La salle de spectacle était remplie comme les gradins de Léopold Sédar Senghor. A 21h comme prévu, la compagnie Pamodzi Dance Troupe de la Zambie « a fait vibrer journalistes, cameramen et spectateurs, grâce à la qualité de leurs pas de danse au rythme des tam-tams, aux couleurs de leurs tenues, et à la qualité de la sono 80 minutes durant. Après, ce fut au tour de la Compagnie qui a drainé tous les Américains de Dakar. Cies Urban Bush Women-Jant-bi(Sénégal) avait comme thème : « Les écailles de la mémoire ». C’est une compagnie métisse car il y a des Sénégalais, qui ont su combiner le mbalax à la musique de l’oncle SAM, pour présenter au public une chorégraphie d’une durée de 60 minutes.
L’ÉCRIVAIN ÉLIE CHARLES MOREAU FAVORABLE À UN AUTRE REPORT DU FESTIVAL : «Même un Festival de quartier ne se prépare pas en trois mois»
Si les organisateurs du Festival mondial des arts nègres, à commencer par Me Abdoulaye Wade et le Comité de pilotage, affirment que la manifestation aura bel et bien lieu à date échue, du 10 au 31 décembre, et que tout est presque fin prêt pour cette édition III,...