Avant la soirée une jeune m’a offert à manger. J’ai ainsi assuré le spectacle (…) J’avais aucune idée du montant des cachets. Ndiaga avait tout négocié et empoché 450euros (490.000FFrancs Cfa) », jure l’artiste, la main sur le cœur meurtri. Ndiaga Samb a financé l’album Solution, et le voilà au cœur d’une polémique engagée par son jeune prodige. Il aurait ainsi déclaré à son jeune poulain qu’il détiendrait les 75% des cachets qu’il toucherait. « Depuis que ma casette est sortie, je n’ai jamais touché la somme intégrale d’une de mes prestations.
A chaque fois que j’ai besoin d’argent, je lui en demande et il me donne une somme », pleure le jeune Abou. Ndiaga Samb, le monstre qui a fait souffrir le pauvre amoureux sans solution ? Le cambiste devenu manager préfère encaisser et s’en remettre à Dieu. « J’ai écouté l’émission, je n’ai pas de commentaire à faire. Je sais qu’Abou a refusé à plusieurs reprises de répondre à l’invitation de Walf fm, déclare Ndiaga Samb. C’est vrai que je suis déçu, mais Dieu est grand et le moment venu, j’éclairerai la lanterne de l’opinion ». Qui, du cambiste mauvais payeur ou du chanteur sans solution, faut-il croire ?